Une petite fille de 10 ans, battue et accusée de sorcellerie par ses propres parents à Yaoundé, au Cameroun.
La petite Yawé, 10 ans, accusée de sorcellerie par ses parents, serait enfermée pendant six mois sans sortir. Elle se fait bastonner tous les soirs avec une violence inexplicable. La petite fille a eu la vie sauve grâce aux voisins. Elle garde cependant les traces de la torture (visage défiguré et surement des séquelles psychiatriques).
Un témoin des violences exercées sur la petite, raconte. « Cette petite fille de 10 ans est torturée par ses parents à Yaoundé au quartier Awae, depuis plus de 6 mois, enfermée dans cette chambre. Tous les soirs, elle reçoit une bastonnade pendant des heures par sont soi-disant père, Mr Ekani… Tellement, c’était de trop, le voisin a décidé de faire des photos et faire appel à la brigade pour porter plainte même comme celui-ci, dit que la police ne peut rien et que l’affaire va être étouffée… La petite a besoin d’aide. Et cette femme sur la photo est la soi-disant mère de la petite Yawé, qui dit que la fille est possédée et qu’elle doit seulement la fouetter et personne ne va l’en empêcher. Regardez-vous même l’état de l’enfant ».
La maltraitance des enfants est un phénomène complexe et difficile à étudier. Les estimations actuelles varient considérablement, selon les pays et selon la méthode de recherche utilisée.




On appelle Petite Eglise anti-concordataire l ensemble des mouvements nés de l opposition d une partie de l Eglise catholique française au Concordat signé en 1801 entre Bonaparte et le pape Pie VII. De nos jours, les fidèles de la Petite Eglise composent une église dissidente, implantée en Belgique, Lyon, Bourgogne, Maine & Loire et surtout en Poitou. La Petite Eglise, réfractaire à la Constitution Civile du Clergé en 1790 et anti-concordataire par la suite, ne peut être confondue avec les protestants, ni les Vieux-Catholiques de l Eglise d Utrecht, non plus avec les fidèles de Mgr Lefebvre.