Même les morts sont rentables
En plus de l’obligation d’embaumer, d’acheter des fleurs, payer pour exposer un défunt, creuser une fosse ou incinérer, un commerce déjà lucratif, on fait plus! En France, le neuf février 2022, l’Assemblée Nationale et le Sénat ont approuvé un amendement qui légalise la récupération des matières non combustibles, suite à une crémation. Soit, les métaux contenus dans les dents, les implants ou les prothèses, en plus des bijoux, pouvant contenir de l’or, de l’argent, du titane, de la platine, du cobalt et du palladium… Les directeurs de services mortuaires cèdent ces éléments à des sociétés de recyclage des métaux, telle que Europe Métal Concept, situé à Avignon. L’entreprise néerlandaise Orthometals cueille 90% de ces transactions, évaluées au minimum à deux millions d’euros annuels. Cette compagnie cache, bien inhumée, la nature des produits que génère cette revalorisation… Mieux encore ! Des entreprises, telles que Funecap ou OGF réduisent leurs impôts, grâce à ce recyclage post-mortem : elles font don à leurs propres fondations des sommes versées par Orthometals ou Europe Métal Concept. Définitivement, les entreprises funèbres célèbrent en grandes pompes5.
Article Reseau International de Maryse Laurence Lewis – Lire la suite de l’article ici




On appelle Petite Eglise anti-concordataire l ensemble des mouvements nés de l opposition d une partie de l Eglise catholique française au Concordat signé en 1801 entre Bonaparte et le pape Pie VII. De nos jours, les fidèles de la Petite Eglise composent une église dissidente, implantée en Belgique, Lyon, Bourgogne, Maine & Loire et surtout en Poitou. La Petite Eglise, réfractaire à la Constitution Civile du Clergé en 1790 et anti-concordataire par la suite, ne peut être confondue avec les protestants, ni les Vieux-Catholiques de l Eglise d Utrecht, non plus avec les fidèles de Mgr Lefebvre.