Industrie et lobby pharmaceutique américains… La vérité sur ce poison mis sur le marché en 2006, et testé à l’échelle planétaire. Quoi de mieux que les “essais cliniques” sur des cobayes humains ?
Le 8 juin 2006, la mise sur le marché du vaccin Gardasil (pour soit disant prévenir et lutter contre les génotypes 6, 11, 16 et 18 du papillomavirus humain (HPV) de Merck & Co. est approuvée aux USA par la FDA pour un usage auprès des jeunes filles et des femmes de 9 à 26 ans.
Le 22 septembre 2006, le Gardasil est approuvé par la Commission européenne pour un usage dans l’Union européenne auprès également des jeunes filles et des femmes 9 (?!) à 26 ans.
En février 2007, la polémique commence aux États-Unis. Le républicain Rick Perry, gouverneur du Texas qui a reçu le soutien financier de la firme Merck & Co. pour sa réélection, décide en contournant la procédure de débat de rendre le vaccin obligatoire dès l’année 2008-2009, pour gagner du temps dit-il. Selon les opposants, c’est pour la firme pharmaceutique que c’est urgent.
Dès février 2007, la télévision américaine diffuse des reportages montrant des interviews de victimes vivantes attribuées au Gardasil et des photos de celles décédées.
Le 24 janvier 2008, l’Agence européenne des médicaments (EMEA) publie un avis recommandant de continuer la vaccination au détriment du risque de mort encouru.
À la suite du choc de décès en Autriche et d’un rapport démontrant que l’efficacité à long terme d’une telle vaccination serait « tout à fait négligeable », la ministre autrichienne de la Santé, le Dr Andrea Kdolsky, a décidé de retirer les vaccins anti-HPV du programme officiel, de cesser de les rembourser et de mettre plutôt l’accent sur le dépistage.
En septembre 2008, est publiée une étude australienne menée par l’équipe du Dr Julia Brotherton, qui semble indiquer que le vaccin Gardasil induit des chocs anaphylactiques (réactions allergiques graves) à un niveau « significativement plus élevé » que les vaccins de routine (« Selon le nombre de cas confirmés, le taux estimé d’anaphylaxie après l’administration d’un vaccin anti-VPH quadrivalent a été significativement plus élevé qu’après d’autres vaccinations scolaires comparables. »).
En janvier 2009, la FDA refuse, pour la deuxième fois, l’autorisation de mise en vente du vaccin pour les femmes de 27 à 45 ans aux États-Unis comme le demandait la compagnie Merck & Co. Une autorisation de mise en vente pour les jeunes garçons et les hommes de 9 à 26 ans introduite aux États-Unis en décembre 2008 est (mars 2009) en attente de réponse. Les ventes du Gardasil qui stagnent sont évoquées comme raison de ces demandes d’extensions répétées, alors que les commissions scientifiques n’ont à ce jour pas trouvé de fondements à ces élargissements.
Le 19 février 2009, l’Agence européenne des médicaments (EMEA) publie un nouvel avis recommandant de continuer la vaccination. Les injections provenaient du même lot, qui a été détruit pensant que la réaction était due à une défectuosité de celui-ci.
D’autres pays dans lequel la vaccination a lieu tels que le Canada ou l’Australie connaissent des réactions similaires.
En juin 2013, le ministère de la santé japonais cesse de recommander les vaccins anti HPV, sans pour autant en suspendre totalement l’utilisation.
Document .pdf à télécharger : Gardasil_fillesendanger – Effets_de_la_vaccination_de_J_Coderre_1875